D’une façon générale les sectes visent à couper leurs adeptes de leur milieu (familial, professionnel, relationnel, etc. ) pour les insérer dans une culture et à s’approprier d’une façon ou d’une autre leurs revenus – ou des éléments de leur patrimoine – tout en leur inculquant des pseudo savoirs, dogmatiques et déconnectés du réel, faits de fausses évidences irrationnelles non discutables, présentés comme des vérités et imposés par des gourous – souvent autoproclamés – exerçant un pouvoir de fascination sur des membres dont ils souhaitent abolir tout esprit critique.
Comme l’actualité le prouve tous les jours : il est plus facile d’entrer dans une secte que d’en sortir.
La Grande Loge de France est en opposition complète avec de tels principes et propose au contraire à ceux qui le souhaitent d’entrer dans une démarche de recherche et de construction de soi-même et de sa liberté, en lui donnant une méthode symbolique originale de progression initiatique, n’imposant aucune vérité à quiconque et favorisant l’engagement dans la vie sociale et citoyenne, la Franc-maçonerie ayant pour objectif de contribuer à l’émancipation progressive, dynamique et pacifique des êtres humains (textes fondateurs). Ceci assure à chacun la préservation de tous liens familiaux et sociaux.
Une institution démocratique.
La Grande Loge de France est, de plus une institution parfaitement démocratique dont les représentants (que ce soit dans les loges ou au sommet de l’obédience) sont élus chaque année. La durée de leurs mandats est de trois années au maximum afin d’assurer la transmission des responsabilités et leur accès au plus grand nombre.
On peut ajouter pour finir que il est beaucoup plus difficile d’entrer en Grande Loge de France que d’en sortir.
L’entrée fait l’objet d’une enquête de personnalité et de moralité exigeante et précise.
Pour en sortir il suffit d’en manifester le souhait et ne plus payer la cotisation annuelle.