Histoire et vocation de la loge The White Swan, loge francophone de la Grande Loge de France a Londres

La Loge The White Swan (no 1348) tient son nom du pub de Coulsdon, Surrey, où des résistants français en exil à Londres pendant la deuxième guerre mondiale se réunissaient et où le Frère Maurice DRUON et son oncle Joseph KESSEL, composèrent le Chant des Partisans. Cette référence est pour nous un hommage à tous les francophones de bonne volonté, épris de Justice, de Liberté et de Tolérance, qui ont toujours trouvé en Albion un refuge pour défendre leurs valeurs.

The White Swan a vocation à

Proposer une communauté fraternelle de recherche philosophique, spirituelle et morale a Londres, en langue française, s’appuyant sur le symbolisme et la Tradition

Initier de nouveaux profanes a notre démarche parmi les trois cent mille francophones installés à Londres

Accueillir les nombreux Frères expatriés – francophones ou non – venus de la GLDF ou d’autres Obédiences maçonniques amies et soucieux de travailler régulièrement dans le respect des Traditions.

Comme toutes les Loges de la Grande Loge De France, The White Swan proclame la tolérance comme valeur essentielle: vertu de base de la morale maçonnique, elle caractérise une attitude d’acceptation des différences individuelles comme autant de singularités concourant a la richesse de ses Travaux.

Reconnaissant à chacun la possibilité de promouvoir ses idées et sa vision du monde, elle demande simplement pour chacun le respect qui est dû à tous.

Elle refuse par conséquent à la fois le fanatisme des dogmatismes idéologiques ou religieux qui veulent imposer leur vérité aux autres et le laxisme de positions qui acceptent tous regards dont ceux en contradiction avec le respect et la dignité de l’Homme.

The White Swan s’appuie également sur la Tradition. À la fois acte de transmission et corps de valeurs morales et spirituelles, la Tradition renvoie à un courant de Connaissance et de Sagesse qui a puisé à des sources culturelles différentes. Egalement considérée comme un héritage et un patrimoine de culture et de civilisation, elle caractérise l’Homme comme un être capable de se construire en référence à des valeurs transmises dans le cadre de l’expérience Initiatique.

 

 

Comme la plupart des loges de la Grande Loge de France, elle travaille au trois premiers degrés du Rite Ecossais Ancien et Accepté.

Rassemblant ce qui est épars, « The White Swan Lodge, No 1348 » a vocation à accueillir les nombreux frères visiteurs – francophones ou non – venus d’autres obédiences maçonniques et soucieux de travailler régulièrement dans le respect des Traditions. De nombreux frères d’obédiences amies belges, suisses, français ou d’Afrique francophone, en visite ou vivant à Londres sont ainsi présents à ces réunions.

 

Comme toutes les loges de la Grande Loge de France, « The White Swan Lodge, No 1348 » proclame la tolérance comme valeur essentielle : vertu de base de la morale maçonnique, elle caractérise une attitude d’acceptation des différences individuelles, ethniques, culturelles, etc. Reconnaissant à chacun la possibilité de promouvoir ses idées et sa vision du monde, demandant simplement pour chacun le respect qui est dû à tous. Elle refuse par conséquent à la fois le fanatisme des dogmatismes idéologiques ou religieux qui veulent imposer leur vérité aux autres et le laxisme de positions qui acceptent toutes les valeurs, même celles en contradiction avec le respect et la dignité des êtres humains.

« The White Swan Lodge, No 1348 » s’appui également sur la tradition. À la fois acte de transmission et corps de valeurs morales et spirituelles, la tradition renvoie à un courant de connaissance et de sagesse qui a puisé à des sources culturelles riches et différentes. Elle caractérise l’homme comme un être capable de se construire en référence à des valeurs transmises dans le cadre de l’expérience initiatique. On peut aussi la considérer comme un héritage et un patrimoine de culture et de civilisation.

« The White Swan Lodge, No 1348 » tient son nom du pub de Coulsdon,Surrey, où des résistants français en exil à Londres pendant la deuxième mondiale se réunissaient et où Maurice Druon et son oncle Joseph Kessel, composèrent le «Chant des Partisans».